[Essai] VW Golf GTI

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passionVW
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Message par passionVW »

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Regarder aussi sur le site www.e-vw.net, elle a été essayé en avant première et avant la presse spécialisée à la fin septembre 2004.


Sacré bagnole, pas facile de rendre les clés ! ! ! :D :D :D


[img]http://www.touranpassion.com/forum/imag ... G_4033.JPG[/img]



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SAMLAURE
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Message par SAMLAURE »

Essai recueilli sur le site de CARADISIAC.COM
C4 VTS 2.0i 16V 180, Astra GTC 2.0 T 200,
Golf GTI 2.0 T 16S FSI 200

Trois divas de l’asphalte sur circuit



Nous avons testé sur circuit les trois fers de lance de Citroën, Opel et Volkswagen. Un week-end de folie au cours duquel rien ne leur serait épargné. Alors laquelle de ces "sportives" présumées s’en est le mieux sortie ?








De nos jours, toutes les marques ont une dénomination spécifique destinée à distinguer leurs versions sportives du reste de la gamme. GTI, STi, OPC, GTC, VTS, S, RS… les sigles vont bon train, tous plus évocateurs les uns que les autres. Oui mais voilà, l’ère des vraies GTI, des pures, des dures, le temps des R5 Turbo, Peugeot 1,9 GTI et autres Clio Williams en passant par les Ford Escort Cosworth et les Golf GTI premières du nom, cette époque semble bien lointaine. Ces voitures de légende entièrement dévouées à la performance et aux sensations paraissent bien éloignées des fades productions de ces dernières années, plus "politiquement correctes". Aussi lorsque l’occasion nous a été donnée de tester trois des plus prisées de ces prétendues ambassadrices du "sport extrême moderne", nous n’avons pas hésité une seule seconde. Nous allions pouvoir vérifier et comparer si ces fournisseuses officielles de plaisir tenaient réellement leurs promesses en dignes descendantes des monstres de la fin des années 80. Alors véritables sportives dans l’âme ou grossiers plagiats ? Attachez vos ceintures, ça va secouer …

Citroën C4 VTS 2.0i 16V 180 ch

Heureusement qu’il y a le sigle VTS !!

Extérieurement le moins que l’on puisse dire c’est que cette C4 VTS est sage. Très sage, trop, beaucoup trop sage !! Heureusement que le sigle VTS est là pour affirmer que nous avons bien à faire à la sportive de la gamme. Enfin sportive !! Le mot est vite dit. Car chez Citroën les trois lettres "VTS" ne désigne ni plus ni moins qu’un "banal" niveau de finition. Ainsi, hormis les jantes de 17, les baguettes de protection couleur carrosserie et le becquet au goût plus que discutable, peu de détails permettent de la distinguer d’une C4 de base.

Notons néanmoins que cette finition VTS est uniquement réservée aux modèles Coupé de la C4, visuellement la plus sportive. Ouf !! L’honneur est sauf. Mais disponible indifféremment sur motorisation diesel ou essence, à partir de versions développant 110 ch, on cherche à regret le concept de sportivité à l’état pur. Ainsi la C4 VTS, c’est la sportivité mais tout en finesse. Elle ne se targue pas d’être une brute à l’état pure, simplement une sportive visant un haut de gamme de cruiser. Phares directionnels, sellerie spécifique, aide au stationnement, tout y est, même le très "gadget" parfumeur d'ambiance. Enfin presque tout, car il reste tout de même quelques options. Pour le modèle "extrême de la gamme", la 2.0i 16V développant 180 ch, comptez 23 750 € pour l’acquérir. Mais attention l’addition peu rapidement faire un bond en avant et atteindre le sommet des 30 000 € si vous vous laissez séduire par le rayon des options.

Opel Astra GTC 2.0 T 200 ch

Trois lettres qui ne veulent pas dire grand-chose ?

A l’instar de sa concurrente francophone, chez Opel, la sportivité n’est pas un concept. Tout juste un niveau de carrosserie. Ainsi la GTC désigne simplement les Astra Coupé et se décline en finition Enjoy, Sport, Cosmo ou Cosmo Panoramique – cette dernière finition permet de bénéficier du très high-tech pare-brise à vision panoramique – sur l’ensemble des motorisations de la gamme. Ainsi, il est tout à fait possible d’acheter une Astra GTC 1.3 CDTI de 90 ch, GTC n’est ainsi en rien synonyme de sportivité.

Au-delà de ces considérations conceptuelles, nous devons bien admettre que l’Astra GTC a de la gueule. Racée et agressive dans ses galbes alternant courbes et lignes tendues, son regard provocateur, son arrière massif et ses jantes de 17 chaussées en 225/45, ne laissent pas indifférent. Dommage que ce manque d’exclusivité ne gâche un tantinet le tableau. Espérons que l’Astra OPC attendue pour la rentrée 2005 règlera le problème. Dans sa version la plus ultime, l’Astra GTC 2.0 Turbo développant 200 ch sur le banc, n’est disponible que dans les deux finitions les plus dotées, Cosmo ou Cosmo Panoramique. Côté équipement donc, rien à déplorer. Même si la Citroën semble un tantinet au-dessus. Un simple exemple, chez Opel pour disposer des rétroviseurs extérieurs rabattables électriquement, il faut passer par le rayon des options. Néanmoins les différences sont de l’ordre de l’anecdotique. Côté prix, comptez 26 830 € et 28 230 avec le toit panoramique.

Volkswagen Golf GTI 2.0 T 16S FSI 200 ch

La seule à garder un soupçon d’exclusivité

La finition GTI – et oui c’est une finition – est des trois la plus restrictive. Si vous pouvez l’acquérir indifféremment en 3 ou 5 portes, ici, un seul et unique moteur. Le furieux 2.0 T 16S FSI de 200 ch associé au choix à une boîte de vitesse manuelle ou automatique (DSG) à 6 rapports. Jantes de 17 chaussées en 225/45, spoiler arrière spécifique, grille de calandre en structure nid d’abeille avec cerclage rouge, la GTI, ce n’est pas la Golf de "Monsieur Tout le Monde".

Distinctive, elle affirme son agressivité tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Volant cuir/alu 3 branches, sellerie spécifique, inserts en aluminium brossé, le tout siglé GTI. Des trois trubliones, c’est celle qui fleur le plus la sportivité. Ici aucun doute possible, vous n’êtes pas dans une pseudo sportive, mais bel et bien dans la plus furieuse des Golf. Marchant sur les pas de son emblématique aînée, la nouvelle Golf GTI, même si elle a encore du chemin à faire, a à première vue emprunté la bonne voie. Il n’en demeure pas moins, que chez Vokswagen, comme à l’accoutumée la qualité au même titre que la sportivité, se paye au prix fort. Résultat, 26 990 € en 3 portes boîte manuelle (28 650 € en DSG), et 27 690 € en 5 portes boîte manuelle (29 350 € en DSG). Ces tarifs sont hors options bien entendu. Comme il est de tradition chez Volkswagen, le passage par le vaste rayon des options risque ainsi de plomber allègrement votre budget. Un simple exemple, si vous souhaitez équiper votre belle de phares au xénon, il vous en coûtera 1167 € supplémentaire. Cher !! Quand on vous disait que la GTI avait gardé un soupçon d’exclusivité !!

Round 1

La plus classe
1. Citroën C4 VTS
2. Volkswagen Golf GTI
3. Opel Astra GTC

La plus caractérielle
1. Opel Astra GTC
2. Volkswagen Golf GTI
3. Citroën C4 VTS

La plus GTI
1. Volkswagen Golf GTI
2. Opel Astra GTC
3. Citroën C4 VTS

La plus abordable côté budget
1. Citroën C4 VTS
2. Opel Astra GTC
3. Volkswagen Golf GTI

Citroën C4 VTS 2.0i 16V 180 ch

Un véritable cocon de douceur
Lorsque vous pénétrez dans l’habitacle de la C4, vous vous sentez immédiatement en confiance. Comme protégé dans un cocon de confort. Le moelleux des sièges et l’impression d’espace sont là pour vous inviter au voyage. Cruiser en C4 c’est le bonheur. Tout est à porté de main grâce à l’ingénieux volant à moyeu fixe qui permet de rassembler la quasi-totalité des commandes de l’auto. Ainsi, loin très loin de la dureté d’une sportive sans concessions. Vous l’aurez compris, la C4 VTS n’est pas la pour faire mourir de peur le chronomètre, mais pour allier performances et confort. Mission accomplie. Côté plaisir à bord, la C4 laisse un bon souvenir, ce qui confirme les progrès accomplis en matière de finition, même si les allemandes conservent une avance, de plus en plus relative il est vrai. Côté performances même si ce n’est pas la plus musclée, elle ne démérite pas, loin de là …

Opel Astra GTC 2.0 T 200 ch

Claustrophobes s’abstenir
Du côté de l’Astra, lorsqu’on pénètre à son bord, c’est tout de suite plus austère. La rigueur allemande est bien là. Finition top mais un peu tristoune tout de même. Cependant elle n’en demeure pas moins agréable à vivre. Offrant un très bon compromis entre confort et sportivité, cette Opel se retrouve en porte à faux face à une homologue germanique plus sportive dans l’âme et une française plus bon chic bon genre. L’Opel comblera ainsi tout autant le pilote que le voyageur avec un impératif toutefois. Mieux vaut éviter d’être claustrophobe dans l’Astra. La hauteur des montants de portière ainsi que la petitesse des vitres et de la lunette arrière – qui s’apparente plus à un œil de bœuf – donne une impression de confinement et dégrade la rétrovision. Ainsi au lieu de se sentir protégé, on se sent plutôt oppressé. Certains apprécieront, d’autres trouveront cela insoutenable. Quoiqu’il en soit, l’Astra confirme l’impression d’agressivité qu’elle dégage à l’extérieur, en étant tout aussi implacable à bord.

Volkswagen Golf GTI 2.0 T 16S FSI 200 ch

Il ne manque que les harnais 6 points
Mais la championne de la sportivité, celle dont le cockpit fleur bon le cuir et l’adrénaline, c’est incontestablement la GTI. Ici, on ne se sent pas confiné, mais maintenu, par les très efficaces sièges baquets. Résolument sportif, voila en deux mots ce qui résume le mieux l’impression à bord. Des compteurs, au volant sport en passant par le levier de vitesses en alu, tout transpire la sportivité. Un vrai bonheur. Revers de la médaille, elle se révèle ainsi beaucoup moins docile à l’usage que ne peut l’être la C4. Sans pour autant être inconfortable, loin de là, la GTI est tout simplement plus sportive, et c’est tant mieux. Maintenant, il ne reste plus qu’à vérifier que ces qualités ne sont pas de simples apparats destinés à épater la galerie.

Round 2

La plus confortable
1. Citroën C4 VTS
2. Opel Astra GTC
3. Volkswagen Golf GTI

Le meilleur compromis
1. Opel Astra GTC
2. Citroën C4 VTS
3. Volkswagen Golf GTI

La plus sportive
1. Volkswagen Golf GTI
2. Opel Astra GTC
3. Citroën C4 VTS

Après avoir évalué les belles, le combat peut commencer. Une fois rendus sur le circuit, place aux tests. Impitoyables, nous allions faire vrombir leur mécanique et les pousser dans leurs derniers retranchements pour savoir ce qu’elles avaient réellement dans le ventre. Et si nous pensions ne pas avoir de surprise, nous étions loin de nous douter de ce qu’elles nous réservaient. Casque, ceinture, contact, c’est parti …

Citroën C4 VTS 2.0i 16V 180 ch

La sportive pour la route
Qui pourrait deviner que sous ses airs de sage sainte nitouche, la VTS est en réalité une joueuse invétérée, adorant taquiner le vibreur. En voilà une coquine qui cache bien son jeu. D’autant qu’avec 20 chevaux de moins, on était en droit de s’attendre à des performances en retrait. Que nenni. La star aux chevrons ne se laisse pas distancer comme ça. Ses vaillants 180 ch, la propulse ainsi plus qu’honorablement. Avec un 0 à 100 km/h en 8,3 s, un 1000 m DA en 28,9 s et 227 km/h de vitesse de pointe, elle dispose de sérieux arguments pour tenir la dragée haute à ses rivales.

Mais au-delà de ses performances pures, c’est son comportement routier qui s’avère diabolique. Si elle conserve les tares typiques des tractions, à savoir un sous-virage chronique, la VTS sait en jouer. Ainsi, ESP déconnecté, la belle tire tout droit une fois les limites dépassées, mais un bon coup de frein – à mains – suffit à la remettre rapidement dans le droit chemin. Jamais piégeuse, elle permet à son pilote d’anticiper ses réactions. Notons qu’une fois l’ESP réactivé, son efficacité est tout aussi louable, bluffant et loin d’être austère. Les ingénieurs de PSA ont réussi à donner à cette paisible C4 un tempérament des plus fougueux. Loin d’être rigide, l’ESP gère la dérive tout en douceur et dans une progressivité déconcertante. Seule ombre au tableau, si le volant à moyeu fixe est d’un agrément appréciable en situation normale, il se révèle encombrant voir même gênant en position de pilotage. Faire un contre braquage n’est pas chose aisée, les mains s’accrochant sur cet appendice inerte. De plus difficile de savoir où on en est question braquage des roues !!

Opel Astra GTC 2.0 T 200 ch

Entre voyage et sportivité son cœur chavire
Avant même de commencer à rouler, l’Astra telle une sirène charme son pilote avec un chant plus qu’enivrant, tout simplement grisant !! Quel souffle, quel grondement !! On peine à croire que ce n’est qu’un quatre cylindres. Ainsi avant même le départ l’Astra fait bonne impression. Mais une fois en mouvement les choses se gâtent. L’Astra est tout en paradoxe et l’on peine à savoir où est sa place. Pas assez exclusive pour être sportive, trop sportive pour être médaille d’or des voyages au long court, l’Astra c’est un peu de tout cela à la fois. Ainsi, côté performances, pas de problèmes elle envoie. 0 à 100 km/h en 7,8 s, 234 km/h en pointe, on ne cherche pas les 200 chevaux bien longtemps. Seulement voilà, l’efficacité est moins bluffante que sur la modeste française.

Et ce malgré un châssis d’une bonne rigidité, la présence d’un contrôle actif du sous virage (UCL) et surtout le fameux système IDS Plus qui couplé à une suspension à amortissement piloté permet de surveiller et d’adapter en temps réel via des capteurs et de façon indépendante l’amortissement des quatre roues en fonction de la situation. Sans parler des non moins connus et désormais classiques ESP Plus et autres ABS qui viennent compléter la liste de l’électronique embarquée destinée à sécuriser et dynamiser la conduite. Mais rien n’y fait. Et le châssis semble mal encaisser les 200 ch fougueux du moulin. Du coup ça flotte à l’accélération et surtout le sous virage est encore plus présent. Quant à l’ESP impossible de le déconnecter complètement. Et la touche SportSwitch censée optimiser les différents réglages de l’auto – direction, accélérateur, rapport de boîte et amortissement – de façon plus sportive, elle n’est guère convaincante. Pire sur sol humide, la voiture n’en devient que plus délicate à piloter. Ainsi, l’Astra s’avère beaucoup moins docile que la VTS. Plus piégeuse, moins joueuse, mieux vaut bien la placer dans la trajectoire avant de flirter avec ses limites. Dans le cas contraire, la sanction sera sans appel et se sera les graviers ou les pneus du rail de sécurité qui risque de vous attendre au tournant.

Volkswagen Golf GTI 2.0 T 16S FSI 200 ch

Un circuit ? où ça ? où ça ?
On ne va pas vous faire languir plus longtemps. La GTI, c’est 7,2 s pour vous propulser à 100 km/h et 235 km/h en pointe. Voilà c’est dit. Vous l’avez compris, la GTI annonce la couleur, c’est elle qui tient le haut du tableau en matière de performances pures. Mais au-delà de ces données destinées à épater le chaland, la GTI c’est l’inverse de l’Astra. Si l’Opel est tout en compromis, l’usine à gaz de chez Volkswagen n’en fait aucun. A l’inverse du paradoxe Astra, la GTI est en cohérence avec ce qu’elle suggère à l’arrêt. Vous êtes dans une sportive. Dans ces conditions, bienvenue aux pilotes, exit les frimeurs. Agile, fougueuse, un tantinet fourbe, la GTI n’est pas là pour ménager son pilote. L’ESP est entièrement déconnectable et dans cette configuration autant vous dire que la concentration doit être à 200 % pour maîtriser les 200 ch de la petite diablesse.

Si c’est la plus sportive des trois, c’est aussi la plus compacte avec sa longueur de 4,20 m – contre 4,27 m pour la C4 et 4,29 pour l’Astra – et son empattement réduit de 2,58 m – contre respectivement 2,60 m et 2,61 m pour la C4 et l’Astra. C’est aussi la plus légère avec un poids de 1336 kg à vide. Résultat, plus agile, plus agressive dans ses mises en appui, elle est beaucoup plus vive à piloter. Ainsi si elle garde à l’instar de ses consoeurs un comportement sous-vireur marqué, la réactivité du train avant permet des placements en courbe millimétrés, à la condition de savoir lui parler. Car elle est aussi fourbe que fougueuse, et ne vous pardonnera aucun moment d’inattention. Flirter avec ses limites est un véritable combat avec le volant et avec vos propres aptitudes. Aussi le maître mot à bord c’est le respect accompagné d’une bonne dose d’humilité. En cela la nouvelle Golf GTI accroche du bout du pare choc la légende de ses illustres aînées, de là à dire qu’elle procure autant de sensations et de passion,…

Round 3

Taillée pour cruiser
1. Citroën C4 VTS
2. Opel Astra GTC
3. Volkswagen Golf GTI

Taillée pour l’attaque
1. Volkswagen Golf GTI
2. Opel Astra GTC
3. Citroën C4 VTS

Vous l’aurez compris, difficile de désigner un vainqueur incontesté tant ces trois voitures plaisir sont différentes dans l’esprit. La VTS comblera les amoureux de voyages sportifs. L’Astra propose une polyvalence intéressante. Quant à la GTI, comme ces 3 lettres l’indiquent, c’est une sportive avant même d’être une voiture. Maintenant à vous de savoir laquelle vous comblera le mieux tout en respectant votre budget. Quant à nous, nous n’avons qu’une chose à vous dire : quel que soit votre choix, chacune avec son caractère nous a fait vivre des moments emplis de sensations. C’est bien là leur principal objectif.

Seulement voilà même si c'est difficile, il est de notre devoir de désigner une gagnante. Même si il n'y a eu aucun KO, après décompte des points, la championne est ...*

C4 VTS 2.0i 16V 180
Astra GTC 2.0 T 200
Golf GTI 2.0 T 16S FSI 200

Round 1

- La plus classe
3
1
2

- La plus caractérielle
1
3
2

- La plus GTI
1
2
3

- La plus abordable
côté budget
3
2
1

Round 2

- La plus confortable
3
2
1

- Le meilleur compromis
2
3
1

- La plus sportive
1
2
3

Round 3

- Taillée pour cruiser
3
2
1

- Taillée pour l'attaque
1
2
3

Décision de l'arbitre
18
19
17


L'Astra GTC !! Même si ce n'est pas la meilleure sportive ou la plus confortable, est la plus homogène des trois. Alliant sportivité et confort, l'Astra, tout en compromis, nous semble la plus à même de satisfaire un grand nombre de conducteurs avides de sensations sans sacrifier le confort. Cependant si l'Astra GTC est ainsi sacrée reine de la flexibilité, ses deux suivantes ne déméritent pas pour autant. Plus extrême, plus exclusive dans leur positionnement, leur caractère entier les a ainsi pénalisé sur la note globale. Mais que de caractère !! Que ce soit pour l'élégante C4 VTS ou l'agressive Golf GTI, cette défaite n'enlève rien à leur talent. Toujours est-il que la victoire appartient à Opel, qui avec son Astra GTC a construit sa victoire coup par coup, point par point. Constante dans l'effort elle s'est ainsi révélée la plus régulière dans ses attaques/défenses et c'est aussi fort logiquement qu'elle s'impose dans une démonstration de modestie. Et que les mauvaises langues se le disent, même si l'Astra n'est devant que d'une courte tête, dans un combat, il ne peut y avoir qu'un seul vainqueur. Et une victoire reste une victoire, que l'Astra GTC en fine stratège et efficace technicienne pourra ainsi fièrement rajouter à son palmarès.

En conclusion pour ces 3 divas le pari est réussi, elles n’attendent plus que vous pour vous jouer leur symphonie. Envoûtantes !!

* Le calcul des points a été réalisé de la façon suivante : 3 points ont été attribué au 1er, 2 points au 2nd, et 1 point au dernier. Au cumul des points le plus fort score l'emporte


L'essai complet en images :
http://www.caradisiac.com/php/essai_tun ... pel_vw.php
passionVW
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Message par passionVW »

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Sauf que des trois, la seule qui se revend bien, c'est la VW Golf V GTI et de loin ! ! !



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