Volkswagen Passat VI SW
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Volkswagen Passat VI SW
A mon avis, ce sera l'une des plus rudes concurrentes du VW Touran.
Avouez quand même que c'est une superbe réussite esthétique.
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Avouez quand même que c'est une superbe réussite esthétique.
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Modifié en dernier par passionVW le 09 avr. 2006, 14:21, modifié 2 fois.
- Sector_94
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J'ai le temps avant de reprendre une 5 places...david33 a écrit :je sens que d'ici quelques mois au pire quelques années, certains ne feront plus parti des assidus du forum.
Lorent54, il va falloir créer un forum sur la VW Passat VI qui au passage fait un carton en France et encore plus en Europe.
Elles ont 5, 6, 7 et 9 ans et je risque plutot de me retrouver avec un MultiVan ou un Minibus si je continu...
- diamir
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Cette voiture est superbe.
Le problème est que vu mes problèmes de dos, j'ai des problème pour y rentrer et encore plus pour m'en extraire.
Touran est donc un choix de raison.... Qui s'avère aussi un choix plaisir. Le bon compromis.
Le problème est que vu mes problèmes de dos, j'ai des problème pour y rentrer et encore plus pour m'en extraire.
Touran est donc un choix de raison.... Qui s'avère aussi un choix plaisir. Le bon compromis.
Tiguan TDI 140 Sportline DSG7 - Blanc - 21 janvier 2010
Marié, 3 enfants : garçon : 25 ans, fille : 20 ans, fille : 17 ans
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- eljuclemar
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J'espère que le VW Touran ne sera jamais comme cela, sinon, je vais direct acheter une nouvelle VW Passat Variant.
les lignes tendus de la Passat vont bien avec les phares avant, par contre, je ne vois pas du tout les phares avant ainsi, surtout quand on sait le déport peu important sur le Touran.
Je ne souhaite qu'une chose, que le Toutou reste ainsi. Il sobre, à la limite classe dans des coloris foncés et cela me convient parfaitement.
Sinon, les tarifs de la VW Passat Vi Variant seront à peine plus chers que ceux de la berline. Compter environ 1000 à 1200 euros de plus.
les lignes tendus de la Passat vont bien avec les phares avant, par contre, je ne vois pas du tout les phares avant ainsi, surtout quand on sait le déport peu important sur le Touran.
Je ne souhaite qu'une chose, que le Toutou reste ainsi. Il sobre, à la limite classe dans des coloris foncés et cela me convient parfaitement.
Sinon, les tarifs de la VW Passat Vi Variant seront à peine plus chers que ceux de la berline. Compter environ 1000 à 1200 euros de plus.
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- Seigneur
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Volkswagen Passat Variant 2.0 16V TFSI 200 chevaux...
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:love: La classe en beige cette Passat ( Alysée )
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Simplement classe
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Volkswagen Passat Variant 2.0 16V TFSI 200 chevaux...
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:love: La classe en beige cette Passat ( Alysée )
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Simplement classe
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Propos recueillis sur le net :
Plus longue d’un petit centimètre que la berline, la SW affiche surtout 9,2 centimètres de plus en empattement que la version qu’elle remplace. Elle est également plus large de 7,4 cm et plus haute de 1,9 cm. Ses 4,77 m font d’elle un des plus longs breaks de sa catégorie, aux côtés de la Peugeot SW (mais inférieur de 5 cm à l’Opel Vectra break). A l’avant de cette Passat, pas de changement avec la berline : on retrouve la calandre chromée en deux parties ainsi que les optiques spécifiques aux dernières productions de la marque. La forme des vitres latérales et la proportion 1/3 de surface vitrée pour 2/3 de carrosserie ne sont pas sans rappeler une Audi A4. Une disposition qui donne à ce break une allure dynamique, dans l’esprit «break de chasse» qu’affectionne les constructeurs allemands. Les barres de toits chromées, éléments désormais distinctifs de tout break qui se respecte, viennent renforcer la sportivité de la silhouette. A l’arrière, on retrouve les optiques de la berline et une barre chromée, comme sur les A4 de la précédente génération. Un break qui, bien que de grosse taille, sait rester homogène et très esthétique.
L’habitabilité reste fidèle à la berline et propose donc un grand confort, y compris pour les passagers arrière. C’est bien évidemment au chapitre volume de chargement que l’on attend d’un break un réel plus. Autant dire que cette SW ne déçoit pas avec un volume arrière de 603 litres sous le couvre-coffre (en progression de 108 litres par rapport à la précédente génération), pouvant atteindre 1641 litres, banquette rabattue. Cette banquette fractionnable en 2/3-1/3 permet de disposer d’un fond plat et, en option, le siége avant peut lui aussi être replié offrant près de 3 mètres en longueur ! Autre option, non négligeable pour un véhicule familial, des sièges enfants intégrés sont proposés sur la banquette arrière : rehausseurs dans l’assise et coussins latéraux. Cette SW ne se contente pas d’offrir un généreux espace de chargement, elle l’assume ! En effet, pour ceux qui auront à exploiter fréquemment les 638 kg de sa charge utile, la VW propose un correcteur d’assiette hydropneumatique, qui corrige la hauteur de caisse, évitant ainsi l’écrasement des amortisseurs et les effets de pompage en courbe. Un dispositif qui nécessite le remplacement des amortisseurs classiques et qui n’est donc pas compatible avec le châssis Sport.
Nous avons eu l’occasion d’essayer la Passat SW en version Sport, dotée du moteur 2.0 TDI de 140 ch et équipée de la boite robotisée DSG. Cette configuration est certainement la plus adaptée surtout en comparaison du 105 chevaux qui peinera à déplacer les 1532 kg de la bête. Point fort du DSG, le passage des rapports se fait sans à-coup, et les positions des vitesses sont bien étagées. Même si nous avons noté que le passage de la première à la seconde manquait un peu de dynamisme, dans l’ensemble cette SW reprend bien en accélération. Côté performance, elle passe du 0 à 100 km/h en 10,1s et peut atteindre une vitesse maxi de 203 km/h pour une consommation mixte, annoncée par le constructeur de 6,5l/100km.
A l’image de la berline, la SW est aussi à l’aise sur les voies rapides que sur les petites routes sinueuses de campagne. Dotée d’une direction à assistance électromagnétique asservie à la vitesse et d’un train roulant à voies larges, elle enchaîne les virages en toute quiétude. Essayée sur des routes maltraitées par des engins agricoles, la SW se comporte bien. Les déformations de la chaussée se font à peine sentir. La Passat SW profite d’un arsenal sécuritaire généreux. Sont présents de série sur toutes les versions : l’ABS, avec répartiteur électronique de freinage EBV et amplificateur de freinage d’urgence BAS, le correcteur électronique de trajectoire ESP avec blocage de différentiel EDS ainsi que l’anti-patinage ASR. Toutes ces aides à la conduite s’avèrent bien utiles pour un véhicule aussi imposant. A noter qu’en conduite en agglomération, les dimensions du véhicule obligent le conducteur à effectuer des virages larges. A l’intérieur, nous sommes bien dans une routière de nouvelle génération : le calme règne dans l’habitacle malgré un TDI toujours très sonore !
La Passat SW reprend le flambeau avec de réels avantages tant au niveau de la ligne que de l’habitabilité. Au chapitre budget, la SW est facturée 1.300€ de plus que la berline, et 1.500€ de plus que la génération précédente. Notre modèle d’essai 2.0 TDI 140 DSG en finition Sport s’affiche tout de même à 32.410 €, soit plus chère (l’avantage DSG en moins) qu’une 407 SW et pas si éloignée d’une A4 Avant, certes moins habitable.
Stéphan Huyvenaar
Les plus
• Style
• Volume de chargement
Les moins
• Tarif
• TDI sonore
LA PASSAT SW
Plus longue d’un petit centimètre que la berline, la SW affiche surtout 9,2 centimètres de plus en empattement que la version qu’elle remplace. Elle est également plus large de 7,4 cm et plus haute de 1,9 cm. Ses 4,77 m font d’elle un des plus longs breaks de sa catégorie, aux côtés de la Peugeot SW (mais inférieur de 5 cm à l’Opel Vectra break). A l’avant de cette Passat, pas de changement avec la berline : on retrouve la calandre chromée en deux parties ainsi que les optiques spécifiques aux dernières productions de la marque. La forme des vitres latérales et la proportion 1/3 de surface vitrée pour 2/3 de carrosserie ne sont pas sans rappeler une Audi A4. Une disposition qui donne à ce break une allure dynamique, dans l’esprit «break de chasse» qu’affectionne les constructeurs allemands. Les barres de toits chromées, éléments désormais distinctifs de tout break qui se respecte, viennent renforcer la sportivité de la silhouette. A l’arrière, on retrouve les optiques de la berline et une barre chromée, comme sur les A4 de la précédente génération. Un break qui, bien que de grosse taille, sait rester homogène et très esthétique.
L’habitabilité reste fidèle à la berline et propose donc un grand confort, y compris pour les passagers arrière. C’est bien évidemment au chapitre volume de chargement que l’on attend d’un break un réel plus. Autant dire que cette SW ne déçoit pas avec un volume arrière de 603 litres sous le couvre-coffre (en progression de 108 litres par rapport à la précédente génération), pouvant atteindre 1641 litres, banquette rabattue. Cette banquette fractionnable en 2/3-1/3 permet de disposer d’un fond plat et, en option, le siége avant peut lui aussi être replié offrant près de 3 mètres en longueur ! Autre option, non négligeable pour un véhicule familial, des sièges enfants intégrés sont proposés sur la banquette arrière : rehausseurs dans l’assise et coussins latéraux. Cette SW ne se contente pas d’offrir un généreux espace de chargement, elle l’assume ! En effet, pour ceux qui auront à exploiter fréquemment les 638 kg de sa charge utile, la VW propose un correcteur d’assiette hydropneumatique, qui corrige la hauteur de caisse, évitant ainsi l’écrasement des amortisseurs et les effets de pompage en courbe. Un dispositif qui nécessite le remplacement des amortisseurs classiques et qui n’est donc pas compatible avec le châssis Sport.
Nous avons eu l’occasion d’essayer la Passat SW en version Sport, dotée du moteur 2.0 TDI de 140 ch et équipée de la boite robotisée DSG. Cette configuration est certainement la plus adaptée surtout en comparaison du 105 chevaux qui peinera à déplacer les 1532 kg de la bête. Point fort du DSG, le passage des rapports se fait sans à-coup, et les positions des vitesses sont bien étagées. Même si nous avons noté que le passage de la première à la seconde manquait un peu de dynamisme, dans l’ensemble cette SW reprend bien en accélération. Côté performance, elle passe du 0 à 100 km/h en 10,1s et peut atteindre une vitesse maxi de 203 km/h pour une consommation mixte, annoncée par le constructeur de 6,5l/100km.
A l’image de la berline, la SW est aussi à l’aise sur les voies rapides que sur les petites routes sinueuses de campagne. Dotée d’une direction à assistance électromagnétique asservie à la vitesse et d’un train roulant à voies larges, elle enchaîne les virages en toute quiétude. Essayée sur des routes maltraitées par des engins agricoles, la SW se comporte bien. Les déformations de la chaussée se font à peine sentir. La Passat SW profite d’un arsenal sécuritaire généreux. Sont présents de série sur toutes les versions : l’ABS, avec répartiteur électronique de freinage EBV et amplificateur de freinage d’urgence BAS, le correcteur électronique de trajectoire ESP avec blocage de différentiel EDS ainsi que l’anti-patinage ASR. Toutes ces aides à la conduite s’avèrent bien utiles pour un véhicule aussi imposant. A noter qu’en conduite en agglomération, les dimensions du véhicule obligent le conducteur à effectuer des virages larges. A l’intérieur, nous sommes bien dans une routière de nouvelle génération : le calme règne dans l’habitacle malgré un TDI toujours très sonore !
La Passat SW reprend le flambeau avec de réels avantages tant au niveau de la ligne que de l’habitabilité. Au chapitre budget, la SW est facturée 1.300€ de plus que la berline, et 1.500€ de plus que la génération précédente. Notre modèle d’essai 2.0 TDI 140 DSG en finition Sport s’affiche tout de même à 32.410 €, soit plus chère (l’avantage DSG en moins) qu’une 407 SW et pas si éloignée d’une A4 Avant, certes moins habitable.
Stéphan Huyvenaar
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